Traduit du français par Elisa Harrer, en voici la quatrième de couverture :
« Ainsi je peux dire que j'ai appris de Maurice non seulement la beauté absolue de sa musique, mais je peux aussi dire encore qu’il m’a également appris à écouter chaque musique, le plus attentivement possible, et avec le plus grain soin. Il m'a enjoint, sitôt sorti de ma spirale, à lire des auteurs que je ne soupçonnais pas. Il me les a tendus comme l’on tend la main à un enfant pour qu'il ne tombre pas dans un puits profond. Dans la chambre de mon enfance et dans la maison de mon enfance, il m'a réappris à écrire, et donc à redécouvrir le verbe, mais aussi le chant, et toutes ces choses qui touchent l'esprit. Il a donc été cette relation idéale que je cherchais intensément depuis mon enfance. Et cet étranger quie me lie à lui m'est devenu familier. Il fait partie de ma maison, de ma vie, de mon corps, et je le partage sans cesse. »